« Le contexte » (et non l’unanime opposition de la communauté universitaire) a eu raison du contrat entre le ministère et l’entreprise privée PeopleCert pour la passation des certifications de langue anglaise. Après la bonne nouvelle, reste le flou des certifications futures, laissées au choix des présidences d’Université et directions d’IUT.
2 commentaires
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Oui, tout à fait d’accord. Le CLES a fait ses preuves scientifiquement (c’est loin d’être le cas de toutes les certifications privées !!), et c’est aussi la seule certification qui se pense également comme une continuité de l’évaluation du travail fait à l’université (ce qui permet de dépasser le fossé évaluation/certification. Et c’est… le service public !
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Excellente nouvelle! Voyons quel organisme AMU choisira… Et revenons à la charge avec le CLES!
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